Vous aimerez cela : Waché… et Newey en route vers Ferrari ?

En cherchant sur le web j’ai découvert un texte qui va vous plaire. Sa thématique est « la formule 1 ».

Son titre (Waché… et Newey en route vers Ferrari ?) est évocateur.

L’éditorialiste (présenté sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Vous pouvez de ce fait donner du crédit à cette actualité.

Sachez que la date d’édition est 2024-02-12 14:08:16.

Voilà lle texte :

L’ingénieur français Pierre Waché, adjoint d’Adrian Newey chez Red Bull, pourrait suivre (ou précéder) son leader dans la Scuderia Ferrari car Maranello met les bouchées doubles pour déstabiliser sa rivale.

Red Bull Racing va-t-elle perdre ses deux têtes pensantes ?

Dans le contexte explosif de la révolution de palais en cours chez Red Bull Racing, les rumeurs les plus folles circulent dans le milieu.

La plus insistante ces derniers jours concerne la crise dans l’empire du taureau rouge en marge du « Horner Gate » et la perspective d’une fuite des cerveaux à Milton Keynes.

Voilà plusieurs mois qu’il est bien connu que Ferrari tente de débaucher Waché, le directeur technique de RBR, dans la foulée de l’engagement de Loïc Serra en provenance de Mercedes où il était responsable de la performance.

Les deux hommes sont très amis et on partagé le même parcours en passant par Michelin et Sauber avant de s’épanouir dans un top team. Fort de la complicité entre les deux ingénieurs, Frédéric Vasseur fait le forcing, sachant qu’un départ de Waché déforcerait l’écurie championne du monde et renforcerait la Scuderia.

La super star Adrian Newey fait l’objet d’offres mirobolantes de la part de Maranello depuis des années et pourrait également être tenté si Horner est effectivement débarqué, les contrats des deux têtes pensantes de Red Bull étant paraît-il liés par une clause de sortie commune, mais à 65 ans l’ingénieur vedette est peut-être moins attractif que son adjoint de seize ans son cadet (photo ci-dessus).

Le temps presse car les études et les premières ébauches des monoplaces répondant au futur règlement 2026 doivent être entamées sans tarder, de préférence avec les bons ingénieurs aux commandes, d’autant que les périodes de préavis (dites de « jardinage ») s’étendent généralement de six à douze mois en cas de rupture de contrat.

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