Quoi retenir de ce texte : 24H du Mans : Toyota favori malgré tout

Voici le plus mémorable d’un éditorial que notre équipe vient de identifier sur le web. Le propos va forcément vous convenir. Car la thématique est « l’automobile ».

Le titre (24H du Mans : Toyota favori malgré tout) est sans ambiguïté.

Sachez que l’écrivain (présenté sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres textes qu’il a publiés sur le web.

La crédibilité est par conséquent substantielle en ce qui concerne cet article.

L’article source :

Aujourd’hui, pour les cent ans de la plus grande course au monde, mais surtout grâce à l’avènement du règlement Hypercar, l’opposition est de retour. Toyota est bien entendu ravi de retrouver Ferrari, Porsche, Peugeot et Cadillac. En attendant BMW, Alpine, Acura et Lamborghini en 2024.

Un lest de 37 kg lourd à porter

Si les nouvelles 499P ont déjà démontré leur vitesse sur un tour en ce début de saison WEC, c’est bien les Japonaises qui ont continué à dominer les trois premières courses du WEC. Et restent donc bien favorites à la veille des 24H même si les organisateurs de l’ACO, pour maintenir le suspense et l’intérêt, ont revu la Balance de Performances à l’avant-veille du double tour d’horloge alors que ce n’était pas prévu du tout.

”Quand on commence à ne pas respecter les règlements établis, cela peut poser problème, a commenté un Pascal Vasselon bien contrarié – pour rester poli – par la nouvelle BOP imposant un lest de 37 kg aux GR010 tenantes du titre. Je ne peux rien dire sur les effets de la Balance de Performances, mais analysez les chronos et tirez vos propres conclusions.”

L’avantage de l’expérience

On estime généralement à quatre dixièmes la perte de temps au tour par dix kilos sur les 13 km du tracé manceau. Le handicap serait donc de l’ordre d’une seconde et quatre dixièmes. Ce qui est énorme. Sans compter l’effet sur l’usure des pneumatiques, la consommation et le freinage. “Tout cela à dix jours de la course, sans avoir la possibilité de tester.” Un gros coup de freins pour qu’au final la course soit plus belle et que les Toyota ne tournent pas autour de tout le monde. Mais elles conservent néanmoins l’avantage de la fiabilité sur 24h, de l’expérience de cette épreuve pas comme les autres mais aussi de la catégorie LMH, de la stratégie, des procédures, tout cela avec deux équipages routiniers de ce type d’exercice et le quadruple vainqueur Sébastien Buemi.

Dès les essais, on a vu des Cadillac, Porsche et Peugeot tomber en panne. Les Ferrari ont jusqu’ici été épargnées, tout comme les Toyota tournant comme des horloges. Durant un double tour et pour un sixième succès consécutif ? C’est le défi que relève le premier constructeur mondial visant cette fois une victoire qui pèserait lourd dans l’histoire des 24H du Mans.

Bibliographie :

Code de la route/Accidents,(la couverture) .

La 628-E8/Dédicace,A voir et à lire. .

Photographie/Histoire/La carte postale photographique,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Ville30/La cartographie collaborative au service de l’expression citoyenne,Clicker Ici .

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