Que penser de ce texte : ancien Parisien, il ouvre un garage en milieu rural

Nous allons faire la lumière sur ce texte qui vient de paraître, dont la thématique est «l’automobile».

Son titre troublant (ancien Parisien, il ouvre un garage en milieu rural) parle de lui-même.

Sachez que l’auteur (annoncé sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur internet.

Vous pouvez donc faire confiance aux révélations qu’il diffuse.

Originaire du Val-d’Oise, il a débarqué il y a sept ans en Lot-et-Garonne, à la naissance de son deuxième enfant : « Cela faisait déjà cinq ans que nous hésitions, ma femme et moi, à faire le grand saut. On était las de la vie parisienne, même si nous habitions en pavillon. Et chaque année, on venait en repérage dans le coin, en vacances. »

Un rêve qui se réalise

Christophe Pinto caressait depuis longtemps le doux rêve d’être son propre patron, après ses expériences nombreuses dans des enseignes nationales de centre auto, « jusqu’à être responsable et diriger une vingtaine de salariés ». Mais l’homme avait l’envie de retrouver l’ambiance d’un garage à l’ancienne, les mains dans le cambouis : « J’ai été formé par l’ancienne génération. Ce sont eux qui ont suscité ma passion pour les moteurs. J’ai fini par retourner sous les voitures chez Mercedes pour retrouver le goût des outils. »

Lorsqu’en 2015, Christophe Pinto s’installe avec sa famille du côté de Boé, il commence par retrouver du travail à Agen, puis à Sainte-Livrade. Et lorsqu’il tombe sur l’occasion de rouvrir le garage historique cruciblanchais, il n’hésite pas. Et investit 50 000 euros pour réhabiliter les lieux et « surtout acheter du matériel ».

Christophe Pinto, qui tenait à « faire revenir un service de proximité en milieu rural », s’est doté non seulement d’un pont pour les véhicules classiques, mais également pour les camions, « ce qui me permet de prendre en charge des utilitaires ». Un atout pour les artisans du coin à qui le garagiste peut même proposer un camion de prêt pour qu’ils puissent continuer à travailler : « Je crois être le seul par ici à le proposer. » Christophe Pinto accepte même de réparer les camping-cars, un service pas si fréquent. « Je n’ai pas pour objectif que mon garage ressemble à une succursale avec 20 employés. C’est même tout le contraire. »

Vieilles mécaniques

Seul pour l’instant à plonger sous les capots, il espère bien « avoir un apprenti en septembre car la formation, dans notre secteur, c’est aujourd’hui très important. Il y a, manifestement, une pénurie de mécanos ». Christophe Pinto est aussi un passionné de vieilles mécaniques. Lui-même possède deux voitures de collection et certains collectionneurs commencent à lui faire confiance.

Depuis l’ouverture du garage, le bouche-à-oreille a fonctionné, à la grande surprise du patron, qui pensait « démarrer doucement les premières semaines. Mais en fait, mon planning est bien rempli. »

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