On revient sur l’article : Val-de-Marne. Un collégien, soupçonné de harcèlement scolaire, interpellé en plein cours

Un fois de plus, ce site va porter à votre connaissance un article qui a été intercepté sur le web. Le sujet est «l’automobile».

Son titre (Val-de-Marne. Un collégien, soupçonné de harcèlement scolaire, interpellé en plein cours) est évocateur.

Sachez que le rédacteur (présenté sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur internet.

Vous pouvez lire ces révélations en toute sécurité.

La date d’édition est 2023-09-19 16:00:00.

Texte d’origine dont il s’agit :

C’est une intervention qui aura fait réfléchir sa classe sur le harcèlement scolaire. Un collégien de 14 ans, soupçonné de tels faits envers une autre élève transgenre, a été interpellé en plein cours et place en garde à vue mardi à Alfortville, dans le Val-de-Marne. Le rectorat de l’académie s’est interrogé sur la méthode employée par les forces de l’ordre.

« Nous échangeons avec les autorités concernées pour comprendre dans quelles conditions des policiers ont pu être amenés à intervenir dans un établissement scolaire pour procéder à l’interpellation d’un élève en classe », a-t-il indiqué dans un communiqué.

Des menaces de mort sur Instagram

L’affaire a débuté quand les parents d’une lycéenne de 15 ans ont obtenu d’être reçus lundi matin par la proviseure du lycée Maximilien-Perret d’Alfortville, où la victime est scolarisée en classe de seconde, a indiqué le rectorat.

Le père de l’élève a ensuite déposé une main courante au commissariat de la ville, affirmant que sa fille avait été visée par des messages homophobes et des menaces de mort sur Instagram. Grâce à l’exploitation de captures d’écran, les policiers ont identifié l’auteur de ces messages, un élève du collège Henri-Barbusse d’Alfortville, et sont venus l’interpeller en classe.

Une enquête pour violences ayant entraîné une incapacité de travail inférieure à huit jours et menaces de mort a été ouverte mardi matin, a précisé le parquet. Le fait que ces infractions aient été commises en raison du genre ou de l’orientation sexuelle de la victime a été retenu comme circonstance aggravante.

Le collégien, qui a reconnu les faits et exprimé des regrets, a été déféré devant un magistrat du parquet mardi en fin d’après-midi. Le ministère public lui a alors notifié une mesure éducative, définie par le parquet comme « une activité au profit de la collectivité » qui devra être effectuée dans les prochaines semaines.

Ces faits se sont produits après le suicide, à la rentrée, de Nicolas, un adolescent de Poissy (Yvelines) qui s’était plaint de harcèlement. Ses parents se sont dit « outrés » du traitement de son cas par les autorités et le ministre de l’Education nationale Gabriel Attal a promis un « électrochoc à tous les niveaux » dans la lutte contre le harcèlement scolaire.

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