Nous avons découvert un éditorial sur internet dont la thématique est «la formule 1».
Le titre saisissant (Le baquet brûlant d’Alonso, un problème récurrent chez Aston Martin) est sans confusion.
Sachez que l’éditorialiste (présenté sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur internet.
Vous pouvez par conséquent vous fier aux informations qu’il édite.
Sachez que la date de publication est 2023-10-12 14:23:18.
Texte en question :
Lors d’un Grand Prix du Qatar particulièrement éprouvant physiquement pour tous les pilotes de Formule 1, Fernando Alonso a vu sa course compliquée encore davantage par une sensation de brûlure dans le cockpit.
« Le baquet brûle, mec », a lancé l’Ibère à la radio. « Est-ce qu’on peut faire quelque chose à l’arrêt au stand ? Jetez-moi de l’eau, faites quelque chose ! » Aston Martin n’a pas pu faire grand-chose pour soulager son pilote.
« Je pense que Lance [Stroll] et moi avons eu quelques difficultés avec la température du baquet sur le côté droit », a détaillé Alonso après la course. « J’ai été brûlé dans les 15 premiers tours, alors j’ai même demandé à la radio s’ils pouvaient me jeter de l’eau ou quelque chose lors de l’arrêt au stand, ce qui n’est apparemment pas autorisé. Bref, c’était relativement extrême. On a déjà eu des problèmes, mais aujourd’hui, c’était extrême. »
Avec une chaleur torride, ces conditions n’étaient d’ailleurs pas sans rappeler à Alonso des essais menés avec Toyota pour le Dakar 2020. « J’ai fait un test ici en août avant le Dakar et c’était similaire à aujourd’hui », s’est-il rappelé. « Le Qatar est toujours relativement extrême à cette période de l’année. »
Fernando Alonso (Aston Martin)
Le problème de chaleur intense au niveau du baquet semble en tout cas être récurrent chez Aston Martin, mais avoir pris une ampleur remarquable dans la fournaise de Losail. En effet, lorsqu’il lui a été demandé si ce problème s’était déjà présenté, le directeur d’équipe Mike Krack a répondu : « Oui, c’est vrai. Il l’a déjà rapporté quelques fois. Nous étions en train de travailler là-dessus. Et ce n’est pas que nous n’avons rien fait. Nous avons également rencontré ce problème à Singapour, où nous trouvions que ça allait largement mieux. Mais il y a eu de nouvelles conditions extrêmes, alors je crois que nous ne sommes pas loin de mettre la climatisation si ça continue comme ça ! »
Mais pourquoi ce baquet chauffe-t-il autant ? « Il y a des lignes hydrauliques, il y a des unités de contrôle électronique autour. Elles chauffent toutes, et l’on essaie d’en isoler le baquet », détaille Krack. « Mais il n’est pas souhaitable d’avoir un système de refroidissement actif, car ce n’est que du poids. »
Alonso est malgré tout parvenu à marquer les points de la sixième place, ce qui s’avère toutefois bien insuffisant pour contrer la remontée fantastique de McLaren. La structure de Woking a inscrit 47 unités à Losail, revenant à 11 longueurs de sa concurrente.
Avec Filip Cleeren, Jonathan Noble et Adam Cooper
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