Editorial tout frais : Formule 1 | Pourquoi Ferrari n’a pas pu ‘tirer profit’ des photos du plancher de la Red Bull RB19

Dans le cadre de notre devoir d’information, nous publions ci-dessous un éditorial vu sur le web ce jour. Le thème est «la formule 1».

Le titre séduisant (Formule 1 | Pourquoi Ferrari n’a pas pu ‘tirer profit’ des photos du plancher de la Red Bull RB19) synthétise tout le post.

Identifié sous le nom «d’anonymat
», l’auteur est connu et fiable pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.

L’éditorial a été publié à une date indiquée 2023-12-29 14:35:00.

Texte original mentionné :

Pourquoi Ferrari n'a pas pu (...)

Le directeur de l’aérodynamique de Ferrari, Enrico Cardile, relativise le fait d’avoir pu voir le plancher de la Red Bull RB19 à Monaco, après une sortie de piste de Sergio Pérez. L’Italien explique qu’avoir des informations sur le plancher est une bonne chose, mais que ce n’est pas miraculeux sans avoir toute la géométrie de la voiture autour.

« Cela fait partie de notre travail d’analyser les voitures de nos concurrents » a déclaré Cardile. « C’est donc une photo de plus dans notre base de données. Même si nos voitures sont différentes, il était intéressant d’analyser le plancher de Red Bull car ils font beaucoup de choses différemment de la concurrence. »

« Mais pour tirer profit d’une photo, il faut la regarder avec les bonnes lunettes. Il faut se détacher de sa propre voiture et avoir une vue d’ensemble. La copie à l’identique n’a jamais fonctionné, et certainement pas avec ces voitures, où les millimètres peuvent faire une grande différence. Mais on peut essayer de comprendre ce qu’ils essaient de faire et s’en inspirer. »

Alors que les équipes peinent à développer des voitures efficaces en toutes circonstances, Cardile note que Red Bull prouve que cet objectif est réalisable : « Red Bull est le meilleur exemple du fait qu’il existe une voiture polyvalente. Il suffit de travailler dur et d’avoir les bons objectifs. »

La Scuderia pense toutefois pouvoir compter sur ses outils numériques pour progresser encore en 2024 : « Je suis satisfait du niveau de corrélation que nous avons atteint, qu’il s’agisse de la CFD, de la soufflerie ou du simulateur. Ils nous aident également à comprendre. »

« Le plus difficile est de trouver une solution aux problèmes qui se posent. Si vous posez les bonnes questions à votre outil, vous obtiendrez les bonnes réponses. Puisqu’il s’agit d’un test en laboratoire, il faut tester les bonnes choses. Exactement celles qui apparaissent dans la réalité. »

« Lors d’un week-end de Sprint, vous n’avez qu’une heure pour préparer votre voiture. Vous dépendez beaucoup plus de votre préparation, et c’est le résultat de vos simulations. Nous savons qu’en moyenne, nous sommes plus performants lors des week-ends de sprint que les autres équipes. Les simulations sont donc l’un de nos points forts. »

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