Editorial tout frais : Au Grand Prix de Miami, la Formule 1 a parfois flirté avec le ridicule

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L’article a été édité à une date mentionnée 2023-05-07 22:09:00.

Voilà ll’article :

Si vous aimez l’artificiel et le superficiel mais que vous n’étiez pas devant votre écran à 21h30 dimanche, nous vous conseillons de regarder un replay du Grand Prix de Miami. Mais si vous aimez la F1, vous devriez plutôt patienter au moins deux semaines de plus, jusqu’à la sixième manche, en Émilie-Romagne. Le rendez-vous floridien, nouvelle grande vitrine de la discipline, a sonné faux à l’extérieur, et creux en piste. Dans une ville qui compte dans le sport américain, la discipline a basculé encore un peu plus vers ce qu’elle préfère : le show. À l’excès. Quitte, parfois, à négliger l’essentiel ou à basculer dans la caricature. Illustrations choisies.

Avant course : cérémonie indigeste

Grand Prix de Miami

Les notes : Verstappen dans son monde, Leclerc dans ses doutes

IL Y A 13 HEURES

A Miami, la F1 a mis en application l’un de ses nouveaux aménagements. L’objectif : mieux présenter les pilotes sur certains Grands Prix, notamment dans les pays où elle a de nouveaux publics à conquérir. Pour cette occasion, tous les clichés ont été réunis : arrivée des pilotes par vagues et à l’américaine, sous les machines à fumée, entre une quinzaine de pom-pom girls, sur une bande-son jouée par un orchestre et des punchlines de LL Cool J. Le tout devant des spectateurs a priori ravis en tribune.

Seul hic : les acteurs n’avaient pas franchement envie d’être là, à quelques minutes du départ de la course. Et ça s’est vu. « Aucun des pilotes n’aime ça. Mais bon, ce n’est pas pour nous que nous le faisons« , a bien résumé Lando Norris. Aïe.

Tour 10/57 : Norris proche de la catastrophe dans la voie des stands

Pas plus tard qu’il y a une semaine, à Bakou, Esteban Ocon (Alpine) avait pénétré dans la voie des stands avec une foule de gens massés devant lui. Le drame avait été évité mais la FIA avait été contrainte de présenter ses excuses au pilote français, tout en lui assurant avoir pris des « mesures immédiates pour que cela n’arrive plus« .

Résultat quelques jours plus tard : Lando Norris (McLaren), entré en tout début de course, est passé à quelques mètres de faucher un homme traversant la voie.

Lando Norris (McLaren) a évité de peu la catastrophe dans la voie des stands (image F1TV)

Crédit: DR

Tour 38/57 : Russell pousse la chansonnette

C’est l’un des grands sujets du moment : le DRS. Quelque peu embarrassée par des dépassements automatisés grâce à l’aileron arrière mobile, la FIA réfléchit à des solutions pour réduire son impact. À Miami, la zone d’activation a été réduite de 75 mètres. Mais cela n’a pas franchement rendu les manœuvres beaucoup plus difficiles à exécuter pour les pilotes.

Un exemple ? Juste après avoir avalé un Carlos Sainz complètement impuissant, George Russell, visiblement pas exténué par l’action, s’est permis de la commenter en chanson, à la radio.

Tour 44/57 : Federer est en fait… Marsden

Nous sommes au 44e tour et Verstappen s’apprête à rentrer aux stands pour l’attaque finale. En attendant, puisqu’elle n’a pas grand-chose d’autre à montrer, la réalisation internationale décide d’offrir un gros plan sur Roger Federer en bord de piste et affiche le nom du Suisse. Problème, il s’agit en réalité de l’acteur américain James Marsden. Raté !

Tour 50/57 : Alonso regarde la course à la télé

Fernando Alonso s’est lui aussi sérieusement ennuyé pendant le Grand Prix. Trop loin des Red Bull pour espérer mieux qu’une troisième place, mais hors d’atteinte pour les Mercedes et les Ferrari, l’Espagnol a vécu une course en solitaire. Alors il s’est occupé comme il a pu. Notamment en profitant des écrans géants pour observer les manœuvres réalisées par son coéquipier Lance Stroll, beaucoup plus en difficultés. « À quelle position est-il ?, a-t-il interrogé à la radio, dans un message que le signal international s’est empressé de diffuser. Jolie manœuvre au virage n°1 !« 

Tour 57/57 : Pas de drapeau à damier pour Verstappen

On avait eu le pire drapeau à damier de l’histoire l’année dernière aux États-Unis, à Austin, par Tim Cook en personne. Miami a fait encore plus ridicule en… oubliant de le brandir. Max Verstappen a ainsi passé la ligne d’arrivée sans en voir la couleur. Heureusement, le reste du peloton y a eu droit.

Grand Prix de Miami

Verstappen, juste une mise au point

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Grand Prix de Miami

Verstappen en mode party

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