Edito tout frais : Ferrari et Toyota lancent le nouvel âge d’or de l’endurance

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Mathieu Warnier, Media365, publié le dimanche 11 juin 2023 à 21h15

A l’issue d’un duel long de 24 heures indécis jusqu’au bout, Ferrari et Toyota ont entamé une rivalité qui pourrait marquer le nouvel âge d’or de l’endurance. Toutefois, la 91eme édition des 24 Heures du Mans n’est pas exempte de tout reproche.

Les 24 Heures du Mans ne pouvaient pas espérer mieux pour leur centenaire ! Si le duel entre Ford et Ferrari a marqué les années 1960 au point d’être immortalisé sur grand écran, la 91eme édition de la classique mancelle a peut-être donné naissance à une nouvelle rivalité entre géants. Après cinq victoires face à une adversité absente, Toyota a vu le retour en force des constructeurs lui jouer un mauvais tour. En effet, Ferrari a fait mieux que donner du fil à retordre aux prototypes japonais. Après avoir été sur le podium à Sebring, Portimão puis Spa-Francorchamps, la 499P tient sa première victoire en championnat du monde d’endurance dans la plus grande course au calendrier. 24 heures durant, le constructeur italien et son homologue japonais ont tout donné avec Ferrari qui a fini par avoir le dernier mot, bien aidé par l’erreur coupable de Ryo Hirakawa à quelques heures du drapeau à damier, alors que le pilote japonais avait pour consigne de prendre tous les risques pour essayer d’arracher la victoire. Derrière Ferrari et Toyota, dont le duel semblait évident au vu du début de saison et des premiers essais au Mans, Cadillac a su être la troisième force du plateau.

Peugeot a répondu présent, Porsche bien moins

En effet, le constructeur américain a placé deux de ses V-Series.R dans le Top 4 à l’arrivée. Mais ce qui pourrait rester comme la révélation de ces 24 Heures du Mans, c’est le regain de forme de Peugeot. Certes, la 9X8 n’a pas été pénalisée par la révision de la balance de performance effectuée avant la semaine dans la Sarthe, contrairement à Toyota et Ferrari, qui ont pris du poids pour réduire l’écart avec la concurrence, mais le prototype de la marque française a confirmé que sa conception était liée aux caractéristiques du circuit manceau. En effet, c’est à la régulière et après avoir brillé sous la pluie que la n°94 a pointé en tête du classement général pendant près de quatre heures. Toutefois, une maladresse de Gustavo Menezes n’a pas permis à la « marque au lion » d’espérer renouer avec la victoire aux 24 Heures du Mans, quatorze ans après le doublé obtenu avec la 908 face à Audi. Pour Porsche, le retour dans la Sarthe n’a pas été couronné de succès. Comme lors des 24 Heures de Daytona, sa première course, la 963 n’a jamais pu rivaliser sérieusement avec les trois constructeurs de pointe. Mais, surtout, la fiabilité a été problématique. Le meilleur résultat de la marque de Stuttgart est une 16eme place à 17 tours pour Dane Cameron, Michael Christensen et Kévin Estre.

La voiture de sécurité, une procédure à revoir

Mais ce qui fera sans doute le plus parler à froid, c’est la nouvelle procédure de voiture de sécurité mise en place cette année. En effet, alors que trois voitures circulaient sur la piste en cas de neutralisation, l’Automobile Club de l’Ouest a changé la donne cette année. Il est désormais question de regrouper tout le peloton derrière une seule voiture de sécurité puis de séparer les trois catégories non sans permettre aux retardataires de récupérer un tour sur le leader. Cette procédure a été mise en place à trois reprises dans la première moitié de l’épreuve, avec une neutralisation qui s’est éternisée pendant près d’une heure et demie. Du côté de Toyota, on a vilipendé une « américanisation » de la classique mancelle avec l’objectif de proposer plus de spectacle en remettant à zéro les écarts en tête de course. Ce qui est certain, c’est que l’ensemble du processus reste obscur pour les non-initiés et même pour les férus des 24 Heures du Mans. Il reste à voir si les dirigeants de l’ACO auront reçu le message et proposeront une procédure simplifiée à l’avenir. Enfin, cette 91eme édition est passé près de voir la troisième victoire de catégorie pour un équipage 100% féminin. Les « Iron Dames » Rahel Frey, Michelle Gatting et Sarah Bovy ont longtemps mené la catégorie LMGTE Am avant de subir des soucis de fiabilité et prendre la quatrième place à l’arrivée. Une malchance qui a également touché Doriane Pin, engagée en LMP2 par l’écurie Prema Racing, mais également Lilou Wadoux, présente en LMGTE Am avec AF Corse. Toutes deux n’ont pas vu l’arrivée ce dimanche au Mans.

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